Lullaby.

Lullaby

joué par Lulla..

première partie

fiche d'identité .

Nom complet : Lullaby.
Âge : 4 ans.
Sexe : Femelle.
Rang :

Chasseuse.

deuxième partie

physiquement .

Description physique : Lullaby, dite By, est une golden retriver. Son pelage couleur coquille d'oeuf ou lait écrémé, selon votre humeur et selon l'heure de la journée, obtient des reflets dorés sous les rayons du soleil. Son corps est élancé, elle est plutôt longiligne. Sa jolie petite tête dodeline en permanence. Ses oreilles semblent être montées sur ressorts, elles s'agitent fréquement. Ses deux yeux sont deux perles de jais, quand on plonge au fin fond de cette immensité d'ébène, on n'est pas sûr d'en ressortir un jour. Les sourires naissent au bout de ses babines écaillées et y meurent également. Sa truffe est une petite tache pigmentée, clairsemée par le soleil. De manière générale, elle semble fragile et frêle mais c'est une chienne qui possède une force intérieur énorme, une vraie boule d'énergie également. Ses prunelles la trahissent en reflétant le moindre de ses sentiments. Ce n'est pas un regard, qu'elle vous lance, c'est une caresse, ou bien un coup de patte, il faut savoir l'interprêter.
Particularités :
Liens sur C.W :

troisième partie

caractère .

Caractère : Lullaby est une chienne fragile mais forte tout de même. Son courage et sa loyauté n'ont d'égal mais sa compassion et sa générosité lui joueront des tours. Son coeur aussi gros qu'un sommet ne cesse de battre pour de futiles inconnus qui lui briseront peu à peu, ses rêves et ses ambitions. Pourtant, elle résiste. Elle se bat. Elle continue, elle vit. Elle n'est pas née pour être soumise au malheur, non, elle ce qu'elle veut, c'est l'idylle, le rêve. Elle veut que dans sa tête tout se passe bien. Assez sociable, elle arrive souvent à s'intégrer.
Histoire ~ Passé :
- " Hey princesse, debout. "
Le museau brun de Faster se pressait contre le mien. Doucement, je relevai la tête, non convaincue que me réveiller si tôt était une bonne idée. Les yeux pétillants de tristesse, comme si il avait pleuré, le beau berger allemand qui habitait avec moi chez nos deux pattes depuis 3 ans se tenait là, me fiwant avidement. Son regard embué me fit chaud au coeur et lentement, je me redressai. Etirant une à une mes pattes, je l'invitai d'un fouettement de queue à m'expliquer la raison pour laquelle il m'avait réveillée. Bien que je n'avais aucun doutes sur ce qu'il allait me dire, je préférai l'apprendre de sa bouche que de porter des conclusions hâtives par moi-même. Après m'avoir jeté un long regard, il prit la parole, la voix éraillée, grimpant dans les octaves en fin de phrase.
-" Ils sont tous partis. Tous.Je voudrais pas t'inquièter, princesse, mais pendant que tu roupillais, les deux-pattes ont tous foutus le camps ! "
Malgrè sa touche d'humour, je devinais son anxiété à travers les regards furtifs qu'il me lançait. Alors quoi ? Les bipèdes nousavaient lâchés ? Encore ? Ankylosée, je m'étirai une nouvelle fois et sortit du petit amas de mousse qui me servait de tapis. Nous allions vivre seuls ? Ce que je ne savais pas encore, ou du moins, ce que je me forçais à ne pas comprendre, c'était que nous entrions dans une nouvelle ère, dans quelque chose d'affreux, quelque chose qui ronge les entraillles à en faire mal, quelque chose qui vous en fait mordre les doigts, et ce quelque chose n'est autre que la solitude.

Quelques semaines d'errance et puis, cette journée. Ce soleil. Ces nuages. Cette sensation de faim, ce creux dans le ventre, ces gargouillis incessants. Cette maladie. Cette souffrance.Cette mort. Ce matin là, lorsque j'ai ouvert les yeux, c'est Faster qui a attiré mon regard. Ses côtes saillants sous son pelage terner et sans éclat du au manque de nourriture, se soulevaient avec peine. Ses yeux vitreux reflétaient toute l'affreuse vérité que nous nous appliquions à cacher, nous mourrions de faim, un par un. C'était son tour. Bien qu'au fond de moi, l'idée de survivre sans lui n'existait pas, j'étais heureuse qu'il s'en aille. Son corps fut secoué d'un ultime spasme, ses yeux se révulsèrent et son souffle s'éteint. Toute vie le quitta. Je ne savais que faire. Finalement, je n'eu pas à choisir et les larmes jaillirent. Elles dévalaient mes joues creusées par la fatigue, par la faim et par la vie dure que je menais. J'enfouis ma truffe dans son pelage, une dernière fois, inspirant son odeur. Je le porterai dans mon coeur, à jamais. Aurevoir mon ami. Aurevoir mon amour. Aurevoir ma vie. Bonjour les ennuis.
Ambitions : Vivre, c'est déjà pas mal.
Phobies :

Le noir, elle a peur du noir.

quatrième partie

le rpgiste (: .

PUF :
Comment as-tu connu le forum : TOPSITE.
Ton impression dessus : Beau.
Activité moyenne 10, si j'accroche/10
Lecture du règlement : Yes.
Preuves de cette lecture OK BLUMETTE
Autre : Non.